L’équipe de GwenneG ne se résume pas aux salariés de la structure et à Karim, le fondateur de notre plateforme. A nos côtés se trouvent des entrepreneurs bretons qui ont décidé de nous rejoindre dans cette belle aventure en devenant actionnaires de GwenneG. Nous avons décidé de vous les présenter. On commence avec Frédéric Lescure, dirigeant de SOCOMORE…
Présentez-nous votre société
« SOCOMORE est une société basée à Vannes, spécialisée dans le traitement de surface et le revêtement dans l’aéronautique. Nous employons 200 personnes et nous avons un chiffre d’affaire supérieur à 50 millions d’euros. La société a été créée en 1972 et je l’ai reprise en 1998. A l’époque, nous étions 27 pour 3 millions de chiffre d’affaires… Nous avons bénéficié de la progression de l’aéronautique française pour devenir une société qui compte dans ce secteur. Aujourd’hui, nos clients viennent du monde entier. Nous sommes implantés dans 19 pays. Nous avons des usines en France au Canada, en Chine, aux Etats-Unis en Irlande et au Brésil en la matière. Nous cherchons la croissance là où elle est. Et nous avons la chance d’avoir une forte croissance en France grâce à Airbus….
Qu’est ce qui vous a poussé à investir dans la plateforme GwenneG
J’aime l’idée de voir des patrons bretons mobilisés derrière un leader, Karim Essemiani qui, en l’occurrence, est un ami. Chacun d’entre nous fait du mieux qu’il peut pour la communauté. Je n’ai donc pas hésité une seule seconde.
Pour moi, GwenneG est un outil structurant pour la Bretagne, qui nous mène vers une économie moderne. L’esprit de solidarité autour du projet fait que cela plaît forcément chez nous en Bretagne. Et puis c’est un sacré clin d’œil sur la tolérance. Karim, c’est peut-être le plus breton d’entre nous…
Comment voyez-vous l’avenir économique de la Bretagne ?
Je ne sais pas si je suis le mieux placé pour juger… La région est sortie du 19e siècle en se rendant disponible au reste du Monde grâce aux infrastructures. Nous devons continuer à rendre nos produits disponibles tout en ramenant de la valeur ajoutée dans l’offre proposée. Pensons à l’agro-alimentaire, pensons à la mer, pensons au tourisme et ramenons de la valeur ajoutée ! En Bretagne, nous devons travailler en respectant tradition et innovation. »