Start-up Weekend Rennes. GwenneG s’engage

54 heures pour exister. Voilà à quoi ressemblait l’opération commando (ou commanDOS pour les ultra geeks) qui s’est déroulé ce week-end à Rennes, sous l’égide de la French Tech Rennes, à l’occasion de la 4ème Start-up Weekend. Une centaine de personnes étaient réunies jusqu’à dimanche pour créer, en 54 heures donc, des start-ups. Bruce Willis, qui lui ne devait se concentrer que 58 minutes pour vivre, a pris un sacré coup de vieux.
Et GwenneG a récompensé le trio gagnant.

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Karim Essemiani, CEO et fondateur de GwenneG, a réussi à se glisser sur toutes les photos !

Mettez une centaine d’étudiants, de salariés ou d’entrepreneurs, passionnés du numérique, ensemble. Soumettez-leur 12 idées portées par des jeunes gonflés à bloc. Laissez infuser 54 heures et attendez de voir le résultat…

L’avenir appartient à ceux qui ne se couchent pas

Dimanche soir, malgré quelques mines aussi grise que la matière qui a cogité pendant des heures, la 4ème « start-up week end » de Rennes avait une nouvelle fois rempli son objectif : permettre aux participants de comprendre rapidement ce qui se passe dans la vie d’une start-up, où tout va forcément plus vite qu’ailleurs.

Chez GwenneG, nous avons assisté aux réunions du week-end ainsi qu’à l’annonce du palmarès dimanche soir… Et si nous avons pu bénir notre lit et notre oreiller au moment du verdict et des têtes parfois basses ça et las, nous sommes restés très attentifs jusqu’au bout. La raison ? Nous avions décidé d’offrir leur campagne crowdfunding aux trois premières équipes !

Gwenneg en mode start-up

C’est ainsi que nous avons assisté, avec grand plaisir, au triomphe du projet My Safe Zone (une application qui permet de stocker et d’envoyer de manière cryptée du contenu journalistique sans garder de trace sur l’appareil utilisé), suivi de Push4Help (un objet connecté pour lutter contre les agressions) et de Equipe Moi (mise en relation de particuliers qui veulent louer du matériel de sport encombrant).

Pour GwenneG, peu importe l’ordre d’arrivée de ces cracks. Tout ce que nous espérons maintenant, au moment de les accompagner sur notre plateforme, c’est qu’ils feront aussi bien que leur prédécesseur tel « Zéros gâchis » par exemple qui, d’une belle idée développée en 54 h en 2011, est aujourd’hui devenue une entreprise bretonne. Car nous ne nous répéterons jamais assez : l’objectif de GwenneG, c’est encore et toujours d’accompagner l’économie bretonne de demain.

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